Au lieu de demander l'avis des pilotes, ils feraient mieux de demander l'avis des pointeurs et commissaires de course.
Alors cette consultation que j'ai relayée auprès de l'APC8, et que Denis a repris ici, est issue de la FISLY/FFCV.
Les représentants Français à la réunion arbitre/règlements sont missionnés par la FFCV (qui représente les clubs, donc les organisateurs). Ils serait logique qu'il soit les représentants des organisations et de l'arbitrage. Il s'agit du pilote de la commission Juges et Arbitres et du pilote de la commission Développement / cadre technique de la ligue Pays de Loire. Il ne peut y avoir AUCUN doute concernant leurs capacités à connaitre l'avis des organisateurs y compris pointeurs et commissaires.
* La règle actuelle est très simple : on pointe les tours et on classe.
Ce n'est pas la règle c'est l'usage, et justement c'est le débat de l'application des règles : faut il passer sous le drapeau à Damier, ... ou pas !!!???
Et là se pose la question de savoir ce qu'est un abandon en classe 8 ? Le moment où la voile est au sol ? Le mec avec une voile mouillée qui se bat 10 minutes avant d'abandonner, on le classe comment ?
La question n'est pas sur la classe 8, cette règle est pour
toutes les classes
Sans compter que ça pousse les mecs avec une voile mouillée, surtoilés ou soustoilés à rester en l'air le plus longtemps possible et donc à être dangereux ou simplement gênants pour les autres.
Bref, la troisième proposition ne devrait même pas exister.
Quand à la deuxième, on peut faire la même remarque que pour la troisième : ça pousse les compétiteurs à rester en course le plus longtemps possible quitte à sacrifier la sécurité, ce qui n'est pas bon.
Tu as un avis, ... pour une fois ou il est possible de s'exprimer avant ....
Ensuite sur les enjeux de sécurité relatifs à la classe 8, il reste toujours la possibilité à l'arbitre d'utiliser le drapeau jaune et bleu, mais je vais encore être taxé de pervers, ou haineux.
En tout cas une règle qui peut faire débat est un problème, et il est bon de ne pas laisser perdurer